CHU de Toulouse : remplacement d'une valve cardiaque sans ouvrir le thorax

Le 18 juillet 2008, une bioprothèse aortique d'Edwards a été implantée avec succès par voie transfémorale sur deux patients qui souffraient d'un rétrécissement valvulaire aortique (RAo).

"Cette innovation thérapeutique représente un espoir pour les patients à haut risque chirurgical. L'intervention a été réalisée par le Professeur Didier Carrié et l'équipe de Cardiologie en collaboration avec les services de Chirurgie Cardiovasculaire du Pr. Alain Cérène et du Pr. Gérard Fournial et le Dr Eric Dieye de l'équipe d'Anesthésie."

L'intervention au Bloc d'hémodynamique

"Les implantations peuvent être effectuées par voie transfémorale rétrograde, en utilisant les techniques habituelles du cathétérisme cardiaque. La présence de lésions artérielles périphériques et/ou aortique pouvant empêcher cette approche rétrograde. Il est également possible d'implanter ces bioprothèses par voie chirurgicale mini-invasive (approche transapicale par mini-thoracotomie gauche), toutefois beaucoup moins lourde qu'une chirurgie classique car sans sternotomie médiane ni Circulation Extra Corporelle."

"Abord chirurgical de l'artère fémorale sous anesthésie générale.
Mise en place d'un guide rigide positionné dans le ventricule gauche.
Le cathéter muni de la valve est ensuite poussé sur ce guide rigide.
La valve est implantée après gonflage du cathéter à ballonnet.
L'artère fémorale est ensuite fermée par un système de suture percutanée mis en place au début de la procédure ou par réparation chirurgicale."

"De longue date, le CHU de Toulouse a été un centre de référence dans la prise en charge des pathologies cardiovasculaires et un lieu d'expression du haut niveau de compétences de ses équipes.Pour rappel, en mars 1986, le Professeur Jacques Puel réalisa la première implantation mondiale d'un stent endocoronaire.

Le rétrécissement valvulaire aortique (RAo) dégénératif est la maladie des valves cardiaques la plus fréquente dans les pays industrialisés, avec un pronostic extrêmement sombre dès lors qu'il devient symptomatique. Le remplacement chirurgical de cette valve, à thorax ouvert et sous circulation extracorporelle (CEC), est alors le seul traitement améliorant la survie à long terme.

Du fait d'un âge avancé et/ou de maladies associées, de nombreux patients ne sont pas traités chirurgicalement car jugés inopérables et donc récusés ou opérables mais avec un risque chirurgical important. Jusqu'à présent pour ces patients, seuls étaient disponibles des traitements pouvant être qualifiés de 'palliatifs', sans effet sur la survie, ni efficacité sur les symptômes ou la qualité de vie.

Les progrès de la cardiologie interventionnelle permettent de proposer l'implantation percutanée, c'est-à-dire sans ouvrir le thorax et à coeur battant, de bio-prothèses valvulaires aortiques apportant donc une solution thérapeutique chez les patients inopérables ou à haut risque chirurgical.

A ce jour, environ 700 patients ont été implantés dans le monde avec cette prothèse, 400 par approche transfémorale, entre 200 et 300 par approche transapicale. Les patients traités étaient âgés de plus de 80 ans, et récusés car inopérables ou à haut risque de mortalité opératoire en cas de chirurgie.
Cette technique a d'ores et déjà été mise en oeuvre dans d'autres centres français, du secteur public et libéral, mais ne connaît pas encore une large diffusion. Le protocole, encore en cours de validation à large échelle, nécessite un niveau élevé d'expertise du centre et des opérateurs en termes de cardiologie interventionnelle, chirurgie valvulaire, anesthésie-réanimation.
Par la mise en oeuvre de ce programme le CHU de Toulouse va contribuer à améliorer la survie, les symptômes, la qualité de vie de patients porteurs de RAo serrés symptomatiques, récusés pour la chirurgie et/ou non opérés car à trop haut risque chirurgical."

*Valve Edwards Sapien ®
La valve implantable par voie percutanée est une bioprothèse sertie dans un stent en acier expansible par gonflage d'un ballonnet.

Pour plus d'informations contacter :
Déléguée à la Communication
CHU de Toulouse - 2 rue Viguerie
31052 Toulouse Cedex
Téléphone : 05.61.77.83.49
Fax : 05.61.77.85.21
email : sudre.mc@chu-toulouse.fr

Source :
La Lettre "Réseau-CHU"
N° 427 - 29 juillet 2008

Virtual Reality System gives Surgeons a New Way to Train

No patients or cadavers needed, when surgeons use the dV-Trainer system to practice the basics of robotic surgery skills.

San Diego, Ca - July 26, 2008 - "Pilots use flight simulators to train, now surgeon get their own virtual reality system to practice complex procedures. Seattle-based Mimic Technologies developed a training simulator, the dV-Trainer, designed to allow efficient, on-demand training for surgeons learning to use the daVinci® Surgical System, a sophisticated robotic platform that enables complex surgery using a minimally invasive approach."

"Think of Mimic's new dV-Trainer as a 'flight simulator' for the da Vinci® Surgical System. This simulator is designed to teach basic robotic skills, such as instrument manipulation, camera control, clutching, and suturing. Key components of the dV-Trainer are a compact hardware platform that closely reproduces the look and feel of the daVinci® surgeon's console, and simulation software based on Mimic's proprietary virtual reality modeling technology.

Through the dV-Trainer, Surgeons can independently practice important skills that once required cadavers, or live patients. The simulator also provides surgeons with objective feedback on performance, while reducing training costs associated with training personnel, operating room costs, and training aids.

For more information, see a demo of the dV-Trainer at http://www.mimic.ws/.
Also see a video on robotic simulation produced by Health Journal Television (http://www.mimic.ws/resources/) and the article titled Simulations Promise Better Training for Combat Medics (http://www.nationaldefensemagazine.org/issues/2007/December/Simulations.htm).

About Mimic Technologies

Mimic is a provider of tension-based force feedback devices with real-time FE (Finite Element) modeling capabilities that enable rapid development of advanced haptic applications and accurate simulation of soft tissue and deformable objects. Visit http://www.mimic.ws/ for more details.

About Jeff Berkley

Jeff Berkley, Mimic's president and founder, began working as a consultant for a surgery simulation company in 1996, where his focus was real-time continuum mechanic based modeling of soft tissue. Jeff saw first hand how doctors were reluctant to accept virtual surgery as a valid tool for medical training, given the lack of realism that technology provided at that time. Jeff saw an opportunity to build a company that could solve some of the technological challenges necessary to overcome the objections by surgeons.

It was during Jeff's PhD work at the world renowned Human Interface Technology (HIT) Laboratory at the University of Washington that Jeff founded Mimic Technologies, Inc. in March 2001. Mimic's objective was to provide new solutions that would enable a more realistic simulation experience through software and hardware. With this objective met, the realistic surgical simulation now provided by the dV-Trainer has the potential to revolutionize the healthcare industry."

Media Contacts
Holly Berkley
Media Relations Consultant
email: hollyb@berkweb.com
cell: 619 957 2593

Andrea Berkley
Director of Marketing and PR
Mimic Technologies Inc.
119 1st Ave South, Suite 360
Seattle, WA 98104
Voice: (800) 918-1670, (206) 923-3337
Fax: (206) 529-5195
email: andrea@mimictech.com

Source:
http://www.prweb.com

CHU de Dijon : Cardiologie : 1ères valves par voies fémorale et trans-ventriculaire

"Premières implantations réussies de valves entièrement implantables sans sternotomie et sans circulation extracorporelle : Les 2 et 3 juillet 2008, l'équipe cardiologique du CHU de Dijon a implanté avec succès et pour la première fois, une prothèse valvulaire par voie fémorale sur un patient et une par voie trans-ventriculaire sur un autre adulte."

"Avec les maladies coronariennes, le rétrécissement de la valve aortique est l'affection cardiaque la plus fréquente. En augmentation constante en raison du vieillissement de la population, son traitement par remplacement d'une prothèse existe depuis 1961, date de la première pose de prothèse valvulaire par Albert STARR aux Etats-Unis. La mortalité de cette intervention à coeur ouvert sur circulation extracorporelle demeure très faible (0 à 4 pour cent) mais augmente rapidement en fonction de l'âge des patients et surtout des pathologies associées : coronaires, insuffisance rénale, problème pulmonaire, etc.... Il arrive même que certains malades soient inopérables avec la chirurgie habituelle.

Cette constatation a conduit le Professeur Cribier à proposer dès 1987 des dilatations de l'orifice aortique ; l'effet de ces dilatations n'a été que transitoire quelques semaines au plus. Ces tentatives associées à la création des endoprothèses intra-vasculaires utilisant des matériaux nouveaux extensibles a permis de développer une valve entièrement implantable sans sternotomie et sans circulation extracorporelle.

Inséré dans un matériel porteur de petit diamètre, la prothèse est introduite dans l'anneau aortique, soit à partir de l'artère fémorale, soit à partir de la pointe du ventricule gauche par une petite thoracotomie si le passage par les artères n'est pas envisageable.

L'équipe cardiologique du CHU de Dijon composée de cardiologues (Pr Wolf et Pr Eicher), de chirurgiens (Dr Bouchot, Dr Jazayeri et Dr Berne) et d'anesthésistes réanimateurs (Dr Parthiot et Dr Merle) a mis en place avec succès pour la première fois une prothèse par voie fémorale le 2 juillet 2008 et par voie trans- ventriculaire le 3 juillet 2008.

Pour l'heure, ces prothèses portant le marquage CE ne sont pas remboursées par la sécurité sociale et leur coût est supporté à part égale par l'Association de Cardiologie, l'Association Bourgogne Coeur et le CHU. Chaque prothèse coûte 24.000 EUR. Quatre prothèses ont été achetées, le souhait du CHU de Dijon étant de figurer dans le peloton de tête des quelques centres autorisés à les mettre en place dés qu'elles seront remboursées par la sécurité sociale. L'équipe cardiologique médicochirurgicale pourrait alors proposer cette nouvelle avancée thérapeutique aux nombreux malades inopérables jusqu'à ce jour."

Pour plus d'information contacter :
CHU de Dijon
Chargée de Communication
1 Bd Jeanne d' Arc
BP 77908 - 21079 DIJON Cedex
Téléphone : 03 80 29 36 28
Fax : 03 80 29 34 21
email : celine.lopes@chu-dijon.fr

Source :
Réseau CHU Newsletter
Newsletter N°426 - 22/07/2008

CHU de Toulouse : la chirurgie cardiaque en pointe

"Les équipes spécialisées de Rangueil jouent avec succès la carte des nouvelles technologies qui améliorent sensiblement la vie des patients et font progresser de façon spectaculaire les techniques opératoires. Le CHU s'affirme comme leader en la matière au sein du Grand Sud-Ouest."

La vidéo-chirurgie, une étape réussie vers la robotique
"Oublier les grandes cicatrices de plusieurs dizaines de centimètres, réduire la trace d'une opération à quelques centimètres, voire millimètres, et la voir le moins possible, tel est le souhait des opérés. Ce qui paraissait être une utopie entre de plus en plus dans la réalité, avec le recours à la vidéo-chirurgie.
Pratiquée abondamment avec succès depuis les années quatre-vingt au niveau abdominal (sous le diaphragme) pour les interventions digestives, gynécologiques ou urologiques, cette technique aborde maintenant le domaine cardiologique. Le CHU vient de s'engager dans cette voie grâce au professeur Gérard Fournial qui est l'un des précursseurs en France de cette technique déjà pratiquée couramment en Europe et aux USA."

Les indications de la vidéo-chirurgie
"Grâce à la vision détaillée que donne la micro-caméra entrée dans le coeur, le chirurgien peut réparer ou remplacer les valves situées entre les oreillettes et les ventricules et opérer des tumeurs sur les oreillettes gauches. De bons résultats sont aussi obtenus sur les anomalies congénitales des oreillettes ou des tumeurs ainsi que devant des traumatismes cardiaques ou thoraciques et des épanchements péricardiques.

Attention, la vidéo-chirurgie cardiaque exige un certaine nombre de critères : le patient ne doit pas être obèse, ni trop âgé, il ne doit pas non plus y avoir de pontage associé."

Principe opératoire
"Le principe de la vidéo-chirurgie est de pratiquer l'intervention à travers des orifices cutanés de petite taille (5 à 10 millimètres de diamètre).
Le premier orifice est destiné à l'introduction du système de vision et d'éclairage. Il s'agit d'une caméra, d'une optique et d'une lumière placées dans le même tube. La transmission se fait par une fibre optique qui recueille l'image et en permet l'affichage sur écran. Les deux autres orifices sont utilisés pour l'introduction des instruments miniaturisés : un trocart main gauche et un trocart main droite.
Le chirurgien va ainsi travailler des deux mains en se guidant via l'écran. Parallèlement est mise en place une circulation extra-corporelle. La réduction des incisions amène à placer des canules par des artères périphériques. Elles sont connectées à une pompe qui vide le coeur et réinjecte le sang.
Les instruments employés sont très longs et très fins.
A l'issue de l'intervention, les incisions sont refermées, le coeur est remis en route sous contrôle, les canules enlevées des artères et veines fémorales. Il ne reste qu'un petit pansement et une cicatrisation qui se fait plus rapidement."

Intérêts pour le patient
"Le recours à la vidéo-chirurgie présente présente de nombreux avantages pour le patient.
Cosmétique : la cicatrice chez la femme est placée sous le sein et ne se voit pas.
Moins pénible : L'incision est moins douloureuse que par les voies habituelles. L'agression opératoire est moindre : les pertes sanguines sont limitées.
Rétablissement rapide : Les suites opératoires sont habituellement plus légères d'où une durée d'hospitalisation réduite et une prompte réhabilitation du patient. En outre, le fait de n'avoir comme trace de l'intervention qu'une petite 'balafre' 'passe' mieux psychologiquement. Quand on regarde une cicatrice de moindre envergure, on a l'impression d'avoir moins mal !"

En projet, la large diffusion de cette innovation
"'La vidéo-chirurgie, poursuit le professeur Fournial, est une activité encore balbutiante en France. Nous avons pu la mettre en oeuvre grâce à l'investissement consenti par le CHU. Il serait souhaitable maintenant de la développer en accroissant les moyens, en constituant des équipes, en les motivant, en les formant. Cette innovation technique pourrait alors être diffusée au sein de la communauté chirurgicale du CHU et au-delà.'

Les progrès de la robotique apportent des améliorations régulières notables à cette pratique. Ils permettent peu à peu de gagner en précision pour les mouvements effectués à l'aide des instruments que le chirurgien manoeuvre en se calant derrière l'écran. Cette technologie procure une vision exceptionnelle par rapport aux interventions conventionnelles. De plus le geste est précis, car le robot ne tremble pas. La sécurité est donc renforcée. Et puis, un robot peut avoir quatre bras..."

100 000 euros et la formation de toute l'équipe
"Pour développer cette innovation au CHU, le professeur Fournial a obtenu un investissement de l'ordre de 100.000 EUR, autorisant l'acquisition du matériel informatique et chirurgical et de la console de vidéo nécessaires. Il a su également inculquer à son équipe la volonté de s'engager dans cette voie nouvelle. Lui-même s'est astreint à un entraînement particulier.

'L'application de cette technique, explique-t-il, demande une période de familiarisation et de préparation à la coordination du regard et des mains, puisque l'oeil du chirurgien doit fixer l'écran. J'ai travaillé plusieurs dizaines d'heures dans mon bureau sur un banc de training pour arriver à une bonne synchronisation.'

'Il y a aussi l'apprentissage environnemental : l'instrumentation est différente, la circulation extra-corporelle l'est aussi. L'équipe a suivi pour cela des stages de formation. Il a fallu six mois de préparation aux instrumentistes, aux panseurs, aux infirmières, aux perfusionnistes, aux anesthésistes et au jeune chirurgien collaborateur pour intégrer cette pratique. Nous avons démarré nos premières interventions au second semestre 2006. Au rythme de deux par mois, nous avons déjà opéré ainsi une trentaine de patients.'"

Source :
Réseau CHU - Newsletter
Newsletter N°425 - 15/07/2008
Pour plus d'informations contacter :
Déléguée à la Communication
CHU de Toulouse - 2 rue Viguerie
31052 Toulouse Cedex
Téléphone : 05.61.77.83.49
Fax : 05.61.77.85.21
email : sudre.mc@chu-toulouse.fr

Surgery without all the blood

Imagine having surgery without being cut.

"Doctors in New Jersey are now performing some abdominal operations this way and believe the 'incisionless' technique will soon become more common on other areas of the body as well.

Overlook Hospital in Summit and CentraState Medical Center in Freehold are among the hospitals performing weight-loss surgery using the groundbreaking method, officially called natural orifice translumenal endoscopic surgery, or NOTES. It is reducing recovery time, as well as patient pain and infection."

"'I had the surgery done at 8 o'clock in the morning and left the hospital at 11:30. I went back to work the next day,' said Debra Bower, 45, of Hazlet, who had gained weight following her March 2007 gastric bypass operation and wanted doctors to reduce the size of her stomach pouch.

Rather than making an incision in Bower's abdomen, a device was introduced into her stomach through the mouth. The device included a flexible tube encasing a fiber-optic camera. Non-absorbable suture-like material was also introduced through the mouth and lowered to the stomach.

Once the tube reached Bower's stomach, the surgeons used the camera to put it in the right position. Starting at the junction where the esophagus meets the stomach, the surgeon fired clips in a clock wise direction to the junction of the stomach and small intestine.

Doctors then operated, sewing the front and back of Bower's stomach together, creating a smaller pouch. The procedure, which leaves no outside scarring, took just 45 minutes to perform.

'We really see the wonderful benefit,' said Morris Washington of Endo-Surgical Associates of Central Jersey, who performed Bower's surgery at CentraState, along with his physician colleague, Ragui Sadek, earlier this month.

Besides 're-do' operations on gastric bypass patients, the technique is also in the early stages of development for use on patients suffering from severe heartburn, or acid reflux. It has also been used experimentally in gall bladder removal and in some gynecological surgeries. Doctors say it can be adapted for other procedures in the body by using other natural entry points.

'This is one of the biggest topics at surgical technology meetings,' said Melvin Scott, director of minimally invasive surgery at Ohio State University, where it is being used in conjunction with more traditional operative techniques for diagnosing abdominal cancers.

Scott, along with Ohio State surgeon Jeffrey Hazey, were the first in the United States to take the new technique into the operating room for abdominal surgery.

To perform the weight-loss procedure, doctors used a Food and Drug Administration-approved sur gical device called StomaphyX, manufactured by EndoGastric Solutions of Redmond, Wash. Bower, who weighed 350 pounds before her original weight-loss operation last year, had the incisionless surgery performed in early June and at the time of this writing was down to 265 pounds.

'It's a good procedure as long as you understand you still must do the hard work of exercising and eating nutritious food, cutting out things like fast food,' said Ajay Goyal, director of bariatric surgery at Overlook Hospital, who also is performing the procedure.

EndoGastric Solutions also makes another device, EsophyX, which is used to operate on patients with chronic reflux.

Mark DeLegee, director of the Digestive Disease Center at the Medical University of South Carolina, said surgeons are excited about the opportunities that lie ahead with incisionless surgery. He said doctors from two gastrointestinal professional societies are now working side by side with instrument manufacturers on tools that would expand its use.

'It's a whole new area of medicine that, frankly, technology has to catch up with,' he said."

Source:
http://www.nj.com

Robotique et retour de force ("tactile feedback")

"En matière de simulation médicale, l’Institut national français de recherche en informatique et en automatique a présenté un appareil qui permet de simuler l’opération de la cataracte. Les chirurgiens pourront s’entraîner avec une qualité d’image supérieure et de manière plus réaliste grâce à la manette à retour de force.

Son petit nom, c’est HRP2. Issu des dernières recherches de l’Institut Carnot de Toulouse et d’un laboratoire franco-japonais, ce robot a comme particularité de pouvoir saisir, porter et manipuler un objet encombrant: un humanoïde d’un mètre 57 pour 58 kilos."

Source :
http://www.euronews.net