"MM. Christian Estrosi, Ministre chargé de l'Industrie, Maire de Nice, Président de Nice Côte d'Azur, Président du Conseil d'administration du CHU de Nice, et Eric Ciotti, Député, Président du Conseil général des Alpes-Maritimes, inaugureront le bloc opératoire intégré et informatisé de l'hôpital Archet II, en présence du Pr Daniel Benchimol, Doyen de la Faculté de Médecine, Conseiller général des Alpes-Maritimes, Adjoint à la santé de la Ville de Nice, et M. Emmanuel Bouvier Muller, Directeur général du CHU de Nice.
L'objectif est de disposer, au sein d'un bloc commun opératoire des onze salles de l'Archet II, d'un bloc opératoire intégré et informatisé permettant à l'équipe chirurgicale d'accorder toute son attention au patient par la visualisation de toutes les données médicales nécessaires sur un écran unique, mais également, d'améliorer la pratique chirurgicale endoscopique par l'utilisation d'écrans vidéo haute définition.
Le projet, d'un coût total de 237 240 € TTC, a été entièrement financé par le Conseil général, dans le cadre de l'appel à projets santé 2008.
A noter qu'un nouvel appel à projets santé a été lancé, le 11 janvier 2010, sur les thèmes de la lutte contre le cancer, la maladie d'Alzheimer et les nouvelles technologies, pour un montant de 3 000 000 €."
Pour plus d'informations, contacter :
Martine Rajzman Directrice
Geneviève Robiquet Responsable de Communication
CHU Nice - Hôpital de Cimiez - 4 avenue Reine Victoria
06003 Nice Cedex 1 - rajzman.m@chu-nice.fr
Tél : 04.92.03.41.03
Fax : 04.92.03.41.06
email : robiquet.g@chu-nice.fr
Source :
http://web.reseau-chu.org
"Un équipement robotisé au service du geste interventionnel"
"Le CHRU de Montpellier vient d'inaugurer la première salle française de radiologie interventionnelle chirurgicale dotée d'un bras articulé robotisé : l'Artis zeego, d'une imagerie 3D puissante intégrée sur un écran géant d'1,40m, d'images simultanées provenant de différentes modalités : scanner, IRM, angiographie, échographie... 'Implantée au sein du bloc opératoire du pôle digestif de l'hôpital Saint Eloi cette salle hybride robotisée, à la fois radiologique et chirurgicale, présente de nombreux avantages tant pour le patient que pour les opérateurs. Elle ouvre de nouvelles perspectives d'interventions mixtes, de recherche et d'enseignement' explique le Professeur Gallix , chef du département d'imagerie."
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CHU de Nancy : Donneur vivant de rein : 100e prélèvement par robot chirurgical
La Lettre "Réseau-CHU" - N° 512 - 16 mars 2010
Petit rappel : la durée de vie moyenne d'un greffon rénal prélevé sur donneur "décédé" est de 10 à 12 ans, tandis que la durée de vie moyenne d'un greffon rénal prélevé sur donneur vivant (on a deux reins mais on n'a besoin que d'un seul pour vivre) est largement supérieure : 20, 25, 30 ans ! En France, le don de rein de son vivant est une pratique encore peu développée. Le CHU de Nancy est pionnier en la matière. Le gouvernement souhaite voir s'étendre la pratique de don de rein de son vivant, car la liste des patients en attente de rein augmente très rapidement : sur les 14.400 patients en attente de greffe en 2009, une très large majorité attend un rein ! Le CHU de Nancy opère le donneur vivant, afin de prélever un rein, en chirurgie mini invasive. Moins de douleur post-opératoire, temps de récupération plus court, cicatrice moins visible ...
"Le CHU de Nancy a franchi en 2010 le cap du 100e prélèvement de rein sur donneur vivant effectué avec robot chirurgical. Huit ans après sa première intervention et alors que le nombre d'insuffisants rénaux et de candidats à la greffe augmentent, l'établissement hospitalo-universitaire lorrain maintient son leadership national et européen. Explications sur les bénéfices de cette technique opératoire pour le donneur, le receveur et l'équipe chirurgicale par le Pr Jacques Hubert, chirurgien référent au CHU de Nancy.
Premier centre expert européen en matière de robotique chirurgicale et site pilote pour le prélèvement rénal sur donneur vivant, le CHU de Nancy et ses équipes réalisent deux interventions de ce type par mois. 'L'ensemble des donneurs vivants suivis au CHU bénéficie de la technique opératoire avec le robot Da Vinci', précise le Pr Jacques Hubert qui pratique les prélèvements et les transplantations rénales en étroite collaboration avec le service Néphrologie du CHU et son responsable le Pr Luc Frimat et le Pr Michèle Kessler en charge du programme de greffe avec donneur vivant.
En effet, avant d'envisager la greffe, il faut remplir un certain nombre de conditions qui portent notamment sur la nature des liens entre donneur et receveur. 'Le cercle des donneurs vivants apparentés a été élargi par la loi de bioéthique de 2004', explique le Pr Kessler. Peuvent donner : les père et mère, frère et soeur, grands-parents, oncle et tante, cousin(e) germain(e), conjoint du père et de la mère, fils et fille, conjoint et toute personne portant la preuve d'une vie commune d'au moins deux ans avec le receveur.
'Une série de bilans et d'examens psychologiques et cliniques approfondis est ensuite menée par les médecins néphrologues du CHU pour déterminer si oui ou non la greffe est possible', indique le Pr Kessler.
Le couple donneur-receveur est hospitalisé la veille de l'intervention en Néphrologie ; le donneur est installé en salle d'opération le lendemain matin vers 8h et sort du bloc entre 11h et 13h, selon la complexité du cas. Le prélèvement du rein par robot présente de nombreux avantages pour les patients mais aussi pour l'équipe chirurgicale.
'Grâce au robot, le donneur a la garantie d'une cicatrisation plus rapide avec un résultat moins visible et d'une douleur post-opératoire atténuée, assure le Pr. Hubert. Son séjour à l'hôpital dure moins d'une semaine et il peut reprendre une activité professionnelle au bout d'un à deux mois. Le robot permet d'obtenir un greffon de grande qualité qui fonctionne quasiment immédiatement, poursuit le chirurgien, si bien que l'arrêt total des dialyses pour le receveur est possible immédiatement après la transplantation.' C'est d'ailleurs la qualité de dissection très fine rendue possible grâce au robot qui intéresse l'équipe médicale. 'Le greffon ne nécessite plus de préparation particulière si ce n'est un lavage au produit glacé pour la conservation, explique le Pr Hubert. Ainsi la transplantation rénale est effectuée à deux heures d'intervalle du prélèvement.'
Durées d'hospitalisation raccourcies, utilisation moindre de dispositifs médicaux et autres produits : des points positifs qui vont dans le sens d'une prise en charge améliorée du patient et aussi d'une gestion médico-économique optimisée pour l'établissement. Si la technique est encore peu répandue en France, l'intérêt qui lui est porté dépasse les frontières : l'équipe nancéienne a reçu récemment la visite de chirurgiens hollandais souhaitant développer le prélèvement par robot dans leur établissement de Rotterdam.
En plus de la technique de chirurgie mini-invasive du robot, deux autres méthodes sont actuellement utilisées dans les centres de transplantations français : le prélèvement par chirurgie 'à ciel ouvert' (chirurgie traditionnelle ou invasive, Ndlr.) et le prélèvement par coelioscopie classique (chirurgie mini invasive, sans assistance par ordinateur, Ndlr.) Dans le cadre du programme STIC (Soutien aux Technologies et Innovations Coûteuses) du Ministère de la Santé, l'équipe du CHU de Nancy va conduire une étude multicentrique comparant ces trois méthodes ; les résultats devraient permettre d'asseoir la plus-value de la robotique chirurgicale pour le prélèvement rénal sur donneur vivant."
Pour plus d'informations contacter :
Responsable de la Communication
CHU Nancy - 29, av du Mal de Lattre de Tassigny
54035 Nancy cedex
Téléphone : 03 83 85 14 78
Fax : 03 83 85 11 88
email : l.verger@chu-nancy.fr
HEC partage ses savoirs sur iTunes U
"HEC crée son espace sur iTunes U et devient ainsi la première école de commerce française à mettre en ligne des contenus académiques audio et vidéo sur le site pédagogique gratuit d’iTunes. HEC rejoint ainsi un cercle restreint d’institutions internationales ayant choisi de partager leur expertise et leur savoir-faire avec le plus grand nombre.
Sur iTunes U, HEC met à disposition des cours très interactifs, ainsi qu’une sélection de podcasts qui a été spécifiquement conçue pour le site. Le lancement d’HEC sur iTunes U a exigé une collaboration étroite entre les professeurs, les administrateurs et les équipes techniques et audiovisuelles de l’institution. Les étudiants d’HEC se sont également impliqués en enregistrant du contenu grâce à un système ingénieux de captation vidéo semi-automatique."
Retrouvez HEC Paris sur iTunes U : http://itunes.hec.edu
http://www.hec.fr
Sur iTunes U, HEC met à disposition des cours très interactifs, ainsi qu’une sélection de podcasts qui a été spécifiquement conçue pour le site. Le lancement d’HEC sur iTunes U a exigé une collaboration étroite entre les professeurs, les administrateurs et les équipes techniques et audiovisuelles de l’institution. Les étudiants d’HEC se sont également impliqués en enregistrant du contenu grâce à un système ingénieux de captation vidéo semi-automatique."
Retrouvez HEC Paris sur iTunes U : http://itunes.hec.edu
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L'Ecole Européenne de Chirurgie, Paris
"Depuis sa création en 2001, l'EEC a formé plus de 8.000 chirurgiens français et étrangers. Ce passage à l'e-learning sert autant à la formation pratique qu'au repérage des vocations. 'Cela nous permet de détecter rapidement les étudiants les plus doués', indique le professeur Alexandre Mignon, qui dirige les travaux. Tous les ans en France, près de 6,5 millions d'opérations chirurgicales sont réalisées, entraînant entre 60.000 et 95.000 événements indésirables graves, dont près de la moitié sont évitables. L'EEC vise aussi la formation collective des équipes, en testant leur cohésion et leur efficacité en cas de pépin. Ces pratiques virtuelles accélèrent la courbe d'apprentissage des gestes qui sauvent, tout en inculquant une culture de la sécurité opératoire. Depuis le début de l'année, les chirurgiens doivent réciter une check-list comprenant 10 points essentiels. La première question consistant tout simplement à s'assurer de l'identité du patient sur le billard. '80 pour cent des accidents qui arrivent dans les salles d'opération sont la conséquence d'erreurs humaines', indique Guy Vallancien. Pour sa part, Axel Kahn souhaite renforcer les doubles formations qui vont devenir la norme dans les cursus médicaux. 'Il nous faut des médecins-scientifiques, des médecins-ingénieurs, des médecinsavocats et même des médecins-avocats et même des médecinsjournalistes', estime le médecin-président parisien."
http://www.lesechos.fr
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"Réussir au féminin"
9 mars 2010 : Colloque à Paris du cercle InterElles sur le thème "Réussir au féminin", organisé par Anne Lauvergeon, présidente du directoire d'Areva (8h15 - 17, Bd Jourdan, Cité Universitaire Internationale, 75014 Paris).
http://madame.lefigaro.fr/societe/news/2648-anne-lauvergeon-pour-les-quotas-de-femmes
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